Prothésiste dentaire

Cursus / formations

Bac +3

Bac +4

Bac +5

Compétences nécessaires

  • Habilité et minutie
  • Sens esthétique
  • Un esprit curieux
  • Créatif

Emploi / débouchés

Le prothésiste dentaire peut travailler dans des entreprises de fabrication de prothèses, ou dans des entreprises (artisanales, publiques, PME ou multinationales) spécialisées dans la conception et la fabrication de produits ou de services, destinés aux professionnels de la prothèse dentaire.

Infos complémentaires

Le premier niveau correspond au Bac pro prothèse dentaire. Son titulaire peut poursuivre sa formation vers un BTS prothésiste dentaire. Par ailleurs, tout au long de sa carrière, le prothésiste dentaire peut suivre des formations de spécialisation pour mieux coller aux évolutions techniques et ouvrir ses champs du possible.

Description

L’activité de prothésiste dentaire consiste dans le fait d’analyser les cas prothétiques, de concevoir, élaborer, réparer, fabriquer et enfin mettre sur le marché des dispositifs médicaux sur mesure.

Associer esthétique et fonctionnel

Couronnes, bridges, dents sur pivot, dentiers… le prothésiste dentaire, véritable artiste, peut faire des miracles pour redonner un sourire éclatant à des personnes handicapées par leur dentition. Il réalise également certains appareils correctifs, prescrits par les orthodontistes. Au quotidien, cet artiste du sourire fabrique les appareils et prothèses nécessaires pour remplacer ou réparer les dents.

Peu en contact avec les patients, les prothésistes dentaires exercent souvent dans de petites entreprises artisanales. Ils peuvent également être recrutés par des laboratoires rattachés à des cabinets. Ils travaillent sur un poste spécialisé (plâtrier, maquettiste, métallurgiste…). On les trouve également dans les hôpitaux, les mutuelles et les centres de santé mais aussi dans l’armée.

Un métier en évolution

Cette profession évolue constamment grâce aux nouvelles technologies (robotique et techniques informatiques assistées par ordinateur), forçant les professionnels à adapter régulièrement leurs connaissances.

L’imagerie 3D, scanner intrabuccaux ou « ConeBeamComputed Tomographie », fait partie de ces avancées technologiques. Par une seule intervention, ces nouvelles pratiques permettent de réaliser des prises d’empreinte plus précises, évitant au passage l’utilisation de pâtes molles de mauvais goût et pouvant donner la nausée. Equipées de spectrocolorimètres, les caméras visualisent également les différentes teintes des dents. Le résultat se présente sous forme d’un fichier informatique exploitable par les praticiens pour simuler ou visualiser les rendus finaux, avant d’être transmis par internet aux centres de fabrication ou laboratoires de prothésiste. Dans la continuité de la chaîne numérique, ces fichiers sont exploités pour fournir au chirurgien-dentiste, dans un temps très court, une réplique anatomique exacte par impression 3D lui permettant de tester et sécuriser ses différentes stratégies de traitements. Enfin, le prothésiste réalise le produit final en utilisant les fichiers pour programmer les machines à commande numériques, voire même pour piloter les imprimantes 3D (céramique, polymère et métallique).

Ce saut dans l’ère numérique intégrale modifie l’organisation entre praticiens et laboratoires de prothèses orthodontiques. Les fichiers numériques sont facilement  transférables pour assurer une rapidité d’exécution du travail. Il se dessine donc, entre le laboratoire et le cabinet, une nouvelle relation plus interactive.

Cursus / formations

Compétences nécessaires

Emploi / débouchés

Bac +3

Bac +4

Bac +5

  • Habilité et minutie
  • Sens esthétique
  • Un esprit curieux
  • Créatif

Le prothésiste dentaire peut travailler dans des entreprises de fabrication de prothèses, ou dans des entreprises (artisanales, publiques, PME ou multinationales) spécialisées dans la conception et la fabrication de produits ou de services, destinés aux professionnels de la prothèse dentaire.

Infos complémentaires

Le premier niveau correspond au Bac pro prothèse dentaire. Son titulaire peut poursuivre sa formation vers un BTS prothésiste dentaire. Par ailleurs, tout au long de sa carrière, le prothésiste dentaire peut suivre des formations de spécialisation pour mieux coller aux évolutions techniques et ouvrir ses champs du possible.

Description

L’activité de prothésiste dentaire consiste dans le fait d’analyser les cas prothétiques, de concevoir, élaborer, réparer, fabriquer et enfin mettre sur le marché des dispositifs médicaux sur mesure.

Associer esthétique et fonctionnel

Couronnes, bridges, dents sur pivot, dentiers… le prothésiste dentaire, véritable artiste, peut faire des miracles pour redonner un sourire éclatant à des personnes handicapées par leur dentition. Il réalise également certains appareils correctifs, prescrits par les orthodontistes. Au quotidien, cet artiste du sourire fabrique les appareils et prothèses nécessaires pour remplacer ou réparer les dents.

Peu en contact avec les patients, les prothésistes dentaires exercent souvent dans de petites entreprises artisanales. Ils peuvent également être recrutés par des laboratoires rattachés à des cabinets. Ils travaillent sur un poste spécialisé (plâtrier, maquettiste, métallurgiste…). On les trouve également dans les hôpitaux, les mutuelles et les centres de santé mais aussi dans l’armée.

Un métier en évolution

Cette profession évolue constamment grâce aux nouvelles technologies (robotique et techniques informatiques assistées par ordinateur), forçant les professionnels à adapter régulièrement leurs connaissances.

L’imagerie 3D, scanner intrabuccaux ou « ConeBeamComputed Tomographie », fait partie de ces avancées technologiques. Par une seule intervention, ces nouvelles pratiques permettent de réaliser des prises d’empreinte plus précises, évitant au passage l’utilisation de pâtes molles de mauvais goût et pouvant donner la nausée. Equipées de spectrocolorimètres, les caméras visualisent également les différentes teintes des dents. Le résultat se présente sous forme d’un fichier informatique exploitable par les praticiens pour simuler ou visualiser les rendus finaux, avant d’être transmis par internet aux centres de fabrication ou laboratoires de prothésiste. Dans la continuité de la chaîne numérique, ces fichiers sont exploités pour fournir au chirurgien-dentiste, dans un temps très court, une réplique anatomique exacte par impression 3D lui permettant de tester et sécuriser ses différentes stratégies de traitements. Enfin, le prothésiste réalise le produit final en utilisant les fichiers pour programmer les machines à commande numériques, voire même pour piloter les imprimantes 3D (céramique, polymère et métallique).

Ce saut dans l’ère numérique intégrale modifie l’organisation entre praticiens et laboratoires de prothèses orthodontiques. Les fichiers numériques sont facilement  transférables pour assurer une rapidité d’exécution du travail. Il se dessine donc, entre le laboratoire et le cabinet, une nouvelle relation plus interactive.

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